Toute une histoire …

Un cycle de atelier de réalisation hebdomadaire animé par Claudia Mollese, réalisatrice. L'atelier se déroulera tous les mardis après midi (13h30 - 17h) du 29 octobre au 10 décembre.  

Cet atelier est composé en partie par un groupe déjà constitué et ouvert à quelques participants individuels.

Conditions : adhésion à l'association + participation éco-responsable (1€<>70€).

Pour en savoir + contact@peuple-culture-marseille.org / 04 91 24 89 71


 


Afrique, en toutes indépendances #3

Rencontres cinématographiques - Entrée libre

Samedi 9 mars
 
à 17h
 
Sisters in law de Kim Longinotto et Florence Ayisi
Royaume - Uni, 2005, 104 min., production : Vixen Films
 
Le monologue de la muette de Khady Sylla et Charlie Van Damme 
France, Sénégal, Belgique, 2008, 45 min., production : Karoninka Sénégal 
 
à 21h30 
 
Le Rite, la folle et moi de Gentille M. Assih
France, Sénégal, 2012, 85 min., production : Ardèche Images, Karoninka
 
Dimanche 10 mars à 17h
 
Hyènes de Djibril Diop Mambety
France, Sénégal, Suisse, 1992, 110 min., production : ADR Productions, Maag Daan Film & TV, Thelma Film AG
Copie de la Cinémathèque Afrique de l'Institut Français.
 
Bar et restauration sur place le samedi 
Présence de la librairie de l’Arbre 
 
Afrique, en toutes indépendances est la proposition d’un groupe 
de spectateurs-programmateurs de l’association que vous pouvez rejoindre ! 
 

A noter que le Cabinet des lecteurs fera des lectures en lien avec cette programmation le 6 mars de 15h à 18h30 à l'Espace lecture du Centre Social Julien.

 

 


Musique [s], on tourne !

Chapitre 4

Les samedis 9 et 16 février 2013 

Entrée libre / Repas possible sur place

Au programme 

#7

Samedi 9 février 2013 / 19h30 / Rebellion

En présence du réalisateur Stéphane Tchalgadjieff

The Devil de Jean-Gabriel Périot (7’, 2012, France)

Music is the Weapon (Musique au poing) de Stéphane Tchalgadjieff et Jean-Jacques Flori (54’, 1982, France) 

 

#8

Samedi 16  février 2013 / 18h / Mégapole

Une soirée en partenariat avec l'Association Française des Anthropologues

En présence de Laetitia Alliez ethno-musicologue

We don’t Care About Music Anyway de Cédric Dupire et Gaspard Kuentz (80’, 2009, France)

Saudade do Futuro de Marie Clémence et César Paes (94’, 2000, France)


 


Musique [s], on tourne ! Chapitre 3 #2

 

Poursuivant ses explorations entre formes cinématographiques et formes musicales, ce cycle de projections, initié par Peuple et culture Marseille, met en résonance l’intégrale des œuvres de Manon de Boer autour de la musique contemporaine avec Off The Road, film de Laurence Petit-Jouvet qui documente la tournée aux Etats-Unis du contrebassiste allemand Peter Kowald, l’une des figures majeures des musiques improvisées. La traversée de ces deux territoires sonores, aux frontières poreuses, révèle des écritures et des choix de mises en scènes très différents. 
 
D’une part, les dispositifs scéniques soigneusement élaborés par Manon de Boer, tant dans la fabrication des images que dans l’entrelacement des musiques, des matériaux sonores (voix, bruits d’ambiance) et, étonnamment, des silences. D’autre part, chez Laurence Petit-Jouvet, des choix cinématographiques plus sauvages, en prise directe avec le tempo et l’aventure esthétique et humaine qui portent son protagoniste de ville en ville dans une vieille Chevrolet déglinguée. De belles propositions où les musiques et les sons se présentent comme des outils esthétiques, ordinaires mais affutés, d’observation critique du monde.
 
#2
 
Off the road de Laurence Petit- Jouvet (France, 2010, 72’)

Musique, On tourne ! Chapitre 3 #1

Poursuivant ses explorations entre formes cinématographiques et formes musicales, ce cycle de projections, initié par Peuple et culture Marseille, met en résonance l’intégrale des œuvres de Manon de Boer autour de la musique contemporaine avec Off The Road, film de Laurence Petit-Jouvet qui documente la tournée aux Etats-Unis du contrebassiste allemand Peter Kowald, l’une des figures majeures des musiques improvisées. La traversée de ces deux territoires sonores, aux frontières poreuses, révèle des écritures et des choix de mises en scènes très différents. 
 
D’une part, les dispositifs scéniques soigneusement élaborés par Manon de Boer, tant dans la fabrication des images que dans l’entrelacement des musiques, des matériaux sonores (voix, bruits d’ambiance) et, étonnamment, des silences. D’autre part, chez Laurence Petit-Jouvet, des choix cinématographiques plus sauvages, en prise directe avec le tempo et l’aventure esthétique et humaine qui portent son protagoniste de ville en ville dans une vieille Chevrolet déglinguée. De belles propositions où les musiques et les sons se présentent comme des outils esthétiques, ordinaires mais affutés, d’observation critique du monde

 

#1

Les films de l’artiste néerlandaise Manon de Boer sont à l’articulation du cinéma documentaire, des musiques contemporaines et des pratiques d’installations. Entre perception et sensation, rapport à l’histoire et au temps, cette proposition met en dialogue des œuvres cinématographiques avec des formes musicales ou des expérimentations sonores.

 

Première partie
Presto Perfect sound (Belgique, 2006, 5')
 
Attica / Coming Together - Two Times 4’33’’
Le temps qui reste (études musicales) (Belgique, 2008, 23')
 
Dissonant (Belgique, 2010, 11‘)
 
Seconde partie
Think about Wood, Think about Metal  (Belgique, 2011, 48').
 
Repas possible sur place
Entrée libre


Déplacements art[s] et cinéma documentaire

Atelier ouvert à tous dans le cadre des actes de la saison 2011 / 2012 aux grands terrains. Cet atelier a eu lieu deux fois par mois en général le jeudi. 

De nombreuses propositions par les deux associations mais aussi par les participants aux groupes ont été faites pour interroger les formes cinématographiques en lien avec le travail d'artistes visuels.

Une projection Déplacements #1 a été organisée en décembre 2011 pour annoncer le lancement de cet atelier et une projection s'est déroulée lors d'images contre nature qui a clôturé cette saison de recherche. 

1 ère séance : une programmation qui questionne la dialectique entre l'espace pictural et l'image vidéo à travers le paysage et le corps. 

Mise en perspective du tableau et du paysage, tentative de capter derrière le corps l'être intérieur. Paysages silencieux et enneigés réels ou peints, balade écologique dans des paysages dévastés,  autant d'essais pour capter les ravages du temps et d'un monde contemporain.  Des films qui s'attachent aux couleurs, aux textures, aux silences ... 

 


Nous, debout !

Un atelier "Cercle de Pawol" mené par Malik Duranty, pawoleur martiniquais.

Créer un espace de pawol, la libérer ...

Le cercle de pawol comme lieu de rencontre,  mise en relation ...et création d'une parole collective

Inscriptions au 04 91 53 95 61     

Participation aux frais : 

Adhésion Venir voir à la Cité - Maison de théâtre 5€

+ Adhésion à Peuple et Culture Marseille 5€

 


Signes de la misère, richesse des signes

Signes de la misère, richesse des signes

Parce que richesse et pauvreté sont inextricablement liées comme les deux faces d’une même pièce, ce cycle esquisse une radioscopie d’un système économique et de ses effets pervers, pour en donner des lectures éclairées ou décalées, en tout cas portées par le regard

Samedi 12 mars à 19h00  I♥$ de Johan Van Der Keuken

jeudi 9 juin 2011 à 19h00 Barça ou Barzakh de Idrissa Guiro


 


Musique, on tourne ! Le crepuscule des idoles

 

De New York à Yaounde en passant par Londres, Peuple et culture Marseille poursuit ses déambulations cinématographico-musicales. Les films proposés interrogent les formes (choix de mises en scènes, recours aux archives, place de la captation directe ou rôle de l’entretien) et le statut d’icône.

Le protopunk Johnny Thunders – leader des New York Dolls puis des Heartbreakers – et le grand timonier de l’influent Gun Club, Jeffrey Lee Pierce, ont en effet connu tous les deux des fins tragiques, délaissés après avoir été adulés tant par des fans anthropophages que par leur entourage. Dans un tout autre contexte, avec la disparition brutale de Zanzibar, leur guitariste prodige, les Têtes Brûlées n’échappent pas non plus à ces sombres destins. La volonté à repousser les limites des dogmes musicaux (et par rebond des conventions sociales), comme à reformuler les traditions les plus ancrées transcende, au final, tous ces drames.

Le dépassement - l’oubli ? - de soi demeure en partie énigmatique, reste au moins une évidence que le cinéma dévoile : l’indéniable capacité des musiciens à raconter des histoires, à chroniquer les petites misères humaines ou les grandes affaires du monde, à « ambiancer » les foules – n’en déplaise à ceux qui considère encore les musiques dites « populaires », d’ici ou d’ailleurs, comme un art mineur.

Rock primitif, blues décharné ou bikutsi à la sauce électrique, il s’agit bien ici d’une même énergie à la manoeuvre ; une même intensité rageuse ou désespérée, joyeuse et déjantée qui secoue les corps, des neurones jusqu’aux hanches. C’est cet ensemble de forces, de tensions et parfois, de doutes qu’ont su capter les trois cinéastes, chacun avec son regard et ses gestes propres.

 

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