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Carte blanche à Sani Elhadj Magori

20 novembre 2013 de 19h00 à 21 novembre 2013 de 23h59

Carte blanche à Sani Elhadj Magori

Les films de Sani Elhadj Magori

 

Pour le meilleur et pour l'oignon 

(Niger, France, 2008, 52')

Le violet de Galmi, l’oignon nigérien, irrigue les marchés ouest-africains avec ses 400.000 tonnes produites par an. À Galmi même, Salamatou attend son mariage depuis 2 ans. Pressé par la belle-famille et les commérages du village, son père Yaro se décide : "Le mariage aura lieu à la récolte !" Yaro sait que pour honorer cet engagement il doit cette fois-ci produire plus, et vendre plus cher… 

Koukan kourcia, Le cri de la tourterelle  

(Niger, 2010, 62’)

Un long voyage du Niger à la Côte d’Ivoire, à la rencontre des Nigériens poussés à l’exil par Zabaya Hussey, jeune cantatrice adulée. Aujourd’hui, elle va vers eux avec une chanson qui leur demande de rentrer au pays. Le film soulève la question de la séparation de notre terre natale : pourquoi ces hommes sont partis de chez eux ? Et qu’est-ce qui les retient là-bas pendant tout ce temps ?

 

Carte blanche au cinéaste- producteur
 

Obalé, le chasseur de Faissol Gnonlonfin

(Niger, Bénin, France, 2012, 64')

A Kpakpa, au Bénin, être intronisé grand chasseur suppose d'avoir tué un grand animal. Mais la chasse n'est plus ce qu'elle était. La disparition des grands animaux menace l'équilibre de la forêt. La rencontre d'Obalé, jeune chasseur avec Noël protectionniste de la nature, amène une certaine prise de conscience des chasseurs alors partagés entre la tradition de la chasse et la protection de l'environnement mais comme tous les jeunes du village, Obalé a l'ambition de devenir un grand chasseur. 

La goumbé des jeunes noceurs de Jean Rouch 

(France, 1965, 27')

A Abidjan dans le quartier populaire de Treichville, l’association la goumbé des jeunes noceurs se réunit pour de spectaculaires exhibitions de chants et de danses modernes. Elle regroupe d’anciens villageois venus tenter leur chance en ville. 


Sani Elhadj Magori  est né au Niger en 1971. Après avoir passé son diplôme d'Ingénieur d'Etat en agronomie saharienne en Algérie, il travaille comme journaliste pour différents magazines et journaux, français et nigériens. En 2008, il achève un Master 2 en réalisation documentaire de création à l'Université Gaston Berger de Saint Louis (Sénégal), avant de se lancer très activement dans la réalisation. Son deuxième documentaire, un 52 minutes traitant d'un mariage en lien étroit avec la récolte et la vente du Violet de Galmi (l'oignon nigérien),  Pour le meilleur et pour l'oignon, s'est vu attribué le Prix Jean Rouch au Forum africain du film documentaire de Niamey en 2008. Notre pain capital a été réalisé peu avant cela, dans le cadre d'un atelier conjointement encadré par Ardèche Images (Africadoc), l'Université Stendhal de Grenoble et Gaston Berger. Son dernier film Koukan Kourcia a reçu le Prix de l’UEMOA, Fespaco 2011.

 

Notre Pain Capital  (2008, 13'), 

Pour le meilleur et pour l'oignon  (2008, 52') 

Koukan Kourcia ou le Cri de la tourterelle  (2010, 62'), 

 

 

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